Journée du Réseau Afro Latino Caribéen de Santé Sexuelle le 11 mai

19 avril 2019 - Source : RELACS

Le samedi 11 mai de 13h à 19h, le Réseau Afro Latino Caribéen de Santé Sexuelle (RELACS) organise sa première journée thématique : « S’engager en tant qu’acteur communautaire dans la promotion de la santé sexuelle et de la prévention des IST ».

Cette journée aura pour objectif d’échanger sur les besoins et bonnes pratiques pour créer des espaces de dialogue autour des questions de promotion de la santé sexuelle et de la prévention des IST/VIH au sein des communautés afro-latino-caribéennes.

Où ? Au Centre Communautaire Maritime asbl (CCM)
Rue Vandenboogaerde 93 – 1080 Molenbeek-Saint-Jean
(métro Ribaucourt / Bus 89, 14,13)

Au programme : conférence sur la prévention des IST/VIH à l’heure de la prévention combinée, atelier sur les besoins et les attentes, village associatif, drink et concert.

>> Merci de confirmer votre participation à e.gerard@preventionsida.org ou au 02/733 72 99
Cliquez ici pour plus d’infos.

Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et la médecine générale : mention de l’orientation sexuelle par les patients et impact sur la relation de soin (étude HomoGen)

9 avril 2019 - Source : BEH (Santé publique France)

Potherat G, Tassel J, Epaulard O. Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et la médecine générale : mention de l’orientation sexuelle par les patients et impact sur la relation de soin (étude HomoGen). Bull Epidémiol Hebd. 2019;(12):204-10. http://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2019/12/2019_12_2.html

Résumé
Introduction – Les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) sont davantage exposés à certains risques infectieux. La prévention, le dépistage, voire le traitement des pathologies concernées peuvent être réalisés par le médecin traitant (MT) ; cela nécessite que les personnes lui aient mentionné leur orientation sexuelle. Nous avons souhaité explorer dans quelle mesure les HSH mentionnaient leur orientation sexuelle à leur médecin et si cela modifiait la prise en charge et la relation médecin-patient.
Matériel et méthodes – L’étude HomoGen, réalisée de mai 2016 à mars 2017, reposait sur un questionnaire en ligne ciblant la population des HSH et explorant la mention de l’orientation sexuelle au MT et ses freins éventuels, ainsi que le dépistage et la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST) effectués.
Résultats – Parmi les 1 879 participants, 87,3% avaient un MT et 58,0% lui avaient mentionné leur orientation sexuelle. Les sujets chez qui cette mention avait été faite étaient en moyenne plus âgés, tout comme ceux pour lesquels cette mention avait été faite à leur initiative et ceux qui la considéraient comme importante. Les participants ayant mentionné leur orientation sexuelle au MT étaient plus fréquemment dépistés pour les IST par leur MT, et ce.tte dernier.e leur proposait plus fréquemment la vaccination contre l’hépatite A. Après mention de l’orientation sexuelle, 84,4% des participants considéraient la relation au médecin inchangée.
Conclusion – La majorité des HSH ont un MT, qui est informé de leur orientation sexuelle dans la plupart des cas. Cette information est associée à une meilleure prise en charge médicale. Les médecins doivent être mieux formés à favoriser la men-tion de l’orientation sexuelle pour une meilleure approche de la santé sexuelle de leurs patients, en particulier les HSH.

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Tribune : «La Prep, ça marche»

12 mars 2019 - Source : VIH.org

Publiée le 12 mars 2019 sur le Huffington Post et signée par des chercheuses, des chercheurs, des médecins et des responsables associatifs engagés dans la lutte contre le sida en France.

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Conférence : Santé sexuelle chez les personnes en exil: enjeux et défis (mardi 19 mars de 9h30 à 12h30)

11 mars 2019 - Source : Centre EXIL

Conférence : Santé sexuelle chez les personnes en exil: enjeux et défis
Mardi 19 mars de 9h30 à 12h30
Présentée par le docteur Anne-Françoise Gennotte, médecin consultante au Centre EXIL et dans le Service des Maladies Infectieuses du CHU Saint-Pierre à Bruxelles, accompagnée de Céline Glorie, sage-femme, référente médicale Santé Sexuelle et Reproductive, Projets Bruxelles et Médecins du Monde et Hulya Cakir, psychologue, référente santé mentale à Médecins du Monde.

Organisée par le Centre Exil dans le cadre du cycle de 5 matinées de réflexion sur le thème de « La santé mentale face aux défis de l’exil » dont lobjectif est d’avoir un dialogue entre professionnels qui travaillent avec les migrants, afin d’échanger sur nos pratiques et nos rencontres.

Dates du cycle : 04/12/2018 – 29/01/2019 – 19/03/2019 – 07/05/2019 – 07/05/2019 – 11/06/2019

Accréditation INAMI pour les médecins demandée en rubrique « éthique et économie de la santé »

Places limitées. Inscriptions :
info@exil.be – 02/534.53.30
10€ pour la séance BE45/732-0223914-89
Communication : Formation + Nom

INFOS PRATIQUES
Lieu de la conférence :
Salle GC Elzenhof, 12 avenue de la Couronne, 1050 Bruxelles
de 9h30 à 12h30, suivie d’un lunch.
Accueil dès 9h00

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Infection à Chlamydia : données épidémiologiques 2017

7 février 2019 - Source : ECDC

Infection à Chlamydia : le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies publie les données épidémiologiques 2017
En 2017, 409.646 cas d’infection à chlamydia ont été signalés dans 26 États européens. Le taux brut est de 146 pour 100.000 habitants. Les taux varient considérablement d’un pays à l’autre, les plus élevés étant plus de 5.000 fois supérieurs aux plus bas. Ces écarts reflètent principalement des variations dans le dépistage, la recherche et la notification des cas, plutôt que des différences réelles de prévalence. Les jeunes femmes adultes et les hétérosexuels continuent d’être les plus touchés. La tendance générale semble stable au cours des dernières années avec des variations au niveau des pays.

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Les personnes qui se disent bisexuelles en France

12 décembre 2018 - Source : INED

Alors qu’un certain nombre de personnes se déclarent bisexuelles, les enquêtes statistiques accordent peu de place à cette population, contribuant à faire de la bisexualité une sexualité secondaire. S’appuyant sur l’enquête Virage menée en 2015, Mathieu Trachman et Tania Lejbowicz présentent quelques caractéristiques sociales des personnes bisexuelles en France et montrent en quoi ces dernières se distinguent des personnes homosexuelles ou hétérosexuelles.

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Une personne séropositive sous traitement ne transmet pas le VIH

12 novembre 2018 - Source : Aide suisse contre le sida

Une personne séropositive sous traitement ne transmet pas le VIH, y compris lors de rapports sexuels : c’est le message mis en avant dans la nouvelle campagne de l’Aide suisse contre le sida.
Entretien avec son directeur Andreas Lehener : https://www.aids.ch/…/nos-ac…/campagnes/journee-mondiale.php

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