Les difficultés rencontrées lors du parcours migratoire influencent-elles le risque d’infection par le VIH ? Résultats de l’enquête ANRS PARCOURS sur les populations d’origine africaine en France – Is hardship during migration a determinant of HIV infection? Results from the ANRS PARCOURS study of sub-Saharan African migrants in France / Annabel Desgrees-du-Lou et al. (article en accès ouvert publié dans la revue Aids)

Vie affective et sexuelle des jeunes en Fédération Wallonie-Bruxelles : les premiers résultats de l’enquête HBSC-FWB (données de 2014) indiquent que la quasi-totalité des jeunes se protègent contre les IST et les grossesses non planifiées. En revanche, certaines situations à risque de transmission du VIH restent sous-estimées.
Plus d’infos sur l’enquête : http://sipes.ulb.ac.be

D’après une enquête dans 9 services d’urgence au Royaume-Uni, le dépistage VIH/VHB/VHC en routine permet d’identifier un nombre important de nouvelles infections. Parmi les patients qui devaient subir une prise de sang dans le cadre des soins aux urgences, plus d’un quart a consenti à être testé. Chez 3 % d’entre eux on a décelé une infection. 45 % de ces infections étaient de nouveaux diagnostics.

« Avec son annonce de résultats préliminaires, «encourageants» mais non publiés, d’un vaccin curatif testé sur des patients séropositifs à Marseille, la start-up française Biosantech a une nouvelle fois créé le buzz autour d’elle, avant que les militants engagés dans la lutte contre le VIH et des scientifiques dont le directeur de l’ANRS Jean-François Delfraissy, n’appellent à la raison: ces résultats ne veulent rien dire. »

L’Aide Suisse contre le Sida intègre la déclaration de 2008 de la Commission Fédérale pour les problèmes liés au Sida dans son message de prévention.

Les nouvelles brochures du CRIPS destinées aux HSH intègrent des messages sur sur le TaSP (Treatment as prevention) et l’importance du dépistage :
– Une personne séropositive sous traitement antirétroviral efficace, avec une charge virale indétectable depuis au moins six mois, ne transmet pas le VIH.
– La primo-infection, première phase de l’infection à VIH, se caractérise par l’existence d’une charge virale très élevée qui dure environ six semaines. C’est pendant cette période que le risque de transmission du VIH est le plus important.

Un nouveau site d’info sur la PrEP à l’initiative de militants de la lutte contre le VIH/sida de l’association AIDES.

Analyse par l’Institut de Veille Sanitaire du public touché lors de la semaine Flash Test 2015 organisée par les Agences régionales de santé (ARS) de Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) et de Corse.